
Candice Rolland Compagne – Au fil des ans, ses rôles emblématiques dans la série emblématique Paysage de la télévision française l’ont fait aimer du public français et l’ont ramené chez eux. Franck, l’électricien stoïque de Plus belle la vie, n’a rien à voir avec le comportement “cache” et moqueur du capitaine Rolland lorsqu’il est avec Julie Lescaut.
Dans les deux cas, le public a montré son appréciation pour la présence unique de cet acteur à l’écran. Lisse dans ses mouvements, avec une voix profonde et savoureuse et un accent “sudiste” presque imperceptible, il dégage un charme sans effort.
Le provincial de Villeneuve-lès-Avignon, en France, trouve rapidement sa vocation dans le théâtre et perfectionne son métier en s’inscrivant à des cours à la prestigieuse École de la Rue Blanche de Paris.
Il a vécu sur scène pendant environ 15 ans avant de passer au théâtre et à la télévision. Il a eu des rôles récurrents dans plusieurs procédures policières (dont Femmes de l’ordre et Section de recherches).
En 2007, il est devenu universellement aimé après avoir joué Franck Ruiz dans la série télévisée à succès Plus belle la vie. De 2008 jusqu’à l’annulation de l’émission en 2014 (après plus de vingt-cinq épisodes), il a joué le rôle du capitaine de police Roland Guétari dans le drame policier Julie Lescaut, aux côtés de Véronique Genest.
En 2012, il était sur France 2 “Lignes de vie” et en 2014, il était dans la troisième saison de “Candice Renoir”. Sur le plateau de Plus belle la vie, l’acteur rencontre sa future épouse, Juliette Chêne, qui interprète Juliette Frémont.
Malgré sa renommée, l’acteur continue de travailler sur de nombreux projets à la fois. On le voit actuellement sur TF1 pour quelques épisodes de la série SAM, et lui et sa co-star devraient bientôt revenir sur scène. Au début de l’été, il débutera le tournage d’une série policière pour France 3 aux côtés de sa co-star, Anny Duperey.
Prendre le temps de se reposer et de se ressourcer est essentiel dans un métier aussi exigeant physiquement, et le stage Risouline offre justement cela. Jean Charles et son partenaire de ski veulent des vacances au ski énergiques mais sobres. Il profite de l’occasion pour passer du temps de qualité avec ses amis, puisqu’il a réussi à forger de véritables amitiés avec ses collègues employés de la gare au fil des ans.
« Risoul, pour moi, c’est une pause du travail que la pêche procure ; ici, dans cette ville décontractée, j’ai rencontré des gens formidables avec qui j’ai partagé des moments mémorables ; chaque matin, avant de partir sur les sentiers, je profite une tasse de café avec Alain pour suivre l’actualité locale, et tout va bien.
Ensuite, j’en profite pour aller skier sur ce “domaine fabuleux de la forêt blanche” qui a des “paysages de rêve” et des “pistes bien adaptées à mon niveau de ski modéré”. L’acteur fait une déclaration sur la terrasse de son café préféré.
Existe-t-il une sorte de “formule magique” pour La Plagne ? Douze athlètes, dont Marie Martinod, qui a décroché l’argent en demi-lune mardi, se sont rendus de la région de Savoie aux Jeux olympiques d’hiver de 2018 à Pyeongchang. Cependant, avec six athlètes en lice pour Courchevel, c’est la deuxième station la plus représentée en Corée du Sud.
Timothée Hagnerelle, le coordinateur de la division freestyle, déclare : “Je ne pense pas vraiment qu’il y ait une certaine méthode.” De plus, les travaux durent depuis longtemps et ne montrent aucun signe d’arrêt. La soif de compétition des Plagnards n’est pas nouvelle.
Jean-Léon Perrier, président d’honneur du Club des Sports, explique qu’au début, c’était surtout avec les équipes de diffusion. De 1960 à 1970, ils ont constamment relevé le défi des moniteurs.par la même personne. Il y avait une vingtaine ou donc des clubs, mais aucun n’était aussi bien organisé que nous.
Quand on pense à La Plagne, des noms comme Eric Laboureix, Fabrice Becker, Candice Gilg et Lionel Brun viennent immédiatement à l’esprit. La génération suivante a émergé, avec des noms comme Julien Lizeroux, Kevin Rolland, Marie Martinod, Tess Ledeux, etc.
Du point de vue de Timothée Hagnerelle, ces leaders sont ceux qui, tout comme leurs prédécesseurs, donnent naissance à de nouvelles carrières. Lorsque de jeunes enfants visitent le club, ils ne trouveront rien hors de leur portée. Ils regardent les affiches de ces champions et se disent : « Si je m’entraîne suffisamment, je peux devenir comme eux.
Les champions forgent des carrières, mais les aspirants doivent gravir leurs propres échelons jusqu’au sommet. Plus aucune “pression” n’est officiellement exercée sur les étudiants de La Plagne. Même là, comme le précise Timothée Hagnerelle, « On n’est pas à La Plagne pour finir dixième. Ici, chacun a pour objectif de se perfectionner en ski, de se mettre en forme, de se faire plaisir et d’atteindre ses objectifs.
Jean-Léon Perrier révèle : « Les gamins, on les emmène à 6 ans, au pré-club. Vers 10 ans, ils se fixent sur un majeur. Il n’y a pas de pression, mais il y a des responsabilités : les gamins doivent se montrer pratique, et ils doivent se présenter avec une certaine motivation. En l’absence d’appétit, ils rentrent chez eux.
Le ski club de Plagne et ses adhérents dépendent fortement des installations mises à leur disposition. Par exemple, Jean-Léon Perrier affirme que le ski halfpipe sera bientôt obsolète.
Selon Timothée Hagnerelle et d’autres, le snowpark est “essentiellement fait pour la clientèle touristique ; il n’est pas adapté aux skieurs de très bon niveau”. Selon Jean-Léon Perrier, le sport du slopestyle, ou ski acrobatique avec des obstacles comme des boss, des tremplins et des rampes, est devenu le centre d’intérêt du club de sport.

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